3e armée (France)

Commandement
Chefs de la 3e armée

2 - 30 août 1914 : général Ruffey

30 août 1914 - 22 juillet 1915 : général Sarrail
22 juillet 1915 - 15 octobre 1918 : général Humbert
23 octobre 1918 - 7 avril 1919 : général Humbert
1936-193. : général Giraud
2 septembre 1939 - 20 juin 1940 : général Condé

Chefs d’état-major

2 - 30 août 1914 : général Grossetti
30 août 1914 - 27 juillet 1915 : colonel Lebouc
27 juillet 1915 - 16 septembre 1917 : lieutenant-colonel Tanant
16 septembre 1917 - 27 octobre 1918 : général Bernard
27 octobre 1918 - : colonel Benoit

1918

10 - 18 janvier : relève par des éléments britanniques entre Pontruet et Urvillers. Le 18 janvier, le reste du secteur passe aux ordres de la 6e armée. Retrait du front de la 3e armée.
À partir du 11 février, tenue prête à intervenir dans la région de la Somme (région britannique).

23 mars : à la suite de l’attaque allemande le 21 mars, le général commandant la 3e armée prend le commandement des forces alliées entre Barisis-aux-Bois à droite (liaison avec la 6e armée) et la route reliant Tugny-et-Pont, Dury et Ollezy à gauche (limite de l’armée britannique). Engagée dans la première bataille de Noyon (2e bataille de Picardie), jusqu’au 27 mars repli en combattant entre l’Oise (6e armée) et le route Nesle, Roye, Montdidier vers le sud de Noyon, de Lassigny et de Montdidier.
26 mars : introduction de la 1re armée sur le front à gauche de la 3e armée, limite route de Nesle, Roye, Montdidier.
avril : stabilisation du front sur la ligne Ayencourt (1re armée), sud de Rollot, sud de Lassigny, Mont Renaud (6e armée).
3 avril : limite droite l’Oise (6e armée).
5 mai : limite droite (6e armée) portée à Varesnes.
27 mai - 2 juin : par la suite de l’offensive allemande du 27 mai sur la 6e armée (bataille de l’Aisne), repli de la droite de la 3e armée ; à partir du 30 mai, violents combats en particulier au mont de Choisy.
juin : le 2 juin, introduction de la 10e armée à la droite de la 3e armée, limite Moulin-sous-Touvent.
À partir du 5 juin, stabilisation de la droite de l’armée sur le front Pontoise-lès-Noyon, Moulin-sous-Touvent.
À partir du 9 juin, bataille du Matz attaque allemande en direction de Compiègne, entre l’Oise et la voie ferrée Montdidier, Saint-Just-en-Chaussée, puis le 11 juin contre-attaque française (groupement Mangin) entre Courcelles-Epayelles et Gournay-sur-Aronde.
11 juin : limite entre la 3e et la 10e armée reportée sur l’Oise.
13 juin : stabilisation sur le front : confluent du Matz, Antheuil-Portes, Courcelles-Epayelles, Domfront.
10 - 30 août : engagée dans la 3e bataille de Picardie, d’abord dans la bataille de Montdidier progression vers Boulogne-la-Grasse, Conchy-les-Pots et Beuvraignes (1re armée) ; puis à partir du 17 août dans la seconde bataille de Noyon, progression en direction de Noyon.
30 août - 14 septembre : engagée dans la poussée vers la position Hindenburg ; prise de Noyon progression vers l’est au-delà du canal Crozat ; puis organisation du front, Barisis-aux-Bois (10e armée), est de Tergnier, Remigny (1re armée).
14 septembre - 27 octobre : retrait du front (la 1re armée prend le secteur de la 3e armée).
27 octobre - 5 novembre : engagée dans la bataille de la Serre au nord de Laon, vers Marchais, Pouilly-sur-Serre : progression sur les deux rives de la Serre, puis organisation des positions conquises au nord de la ligne Sissonne (5e armée), Pierrepont, Crécy-sur-Serre (1re armée).
5 - 11 novembre : engagée dans la poussée vers la Meuse ; poursuite par Marle, Rozoy-sur-Serre, Vervins, Aubenton vers la région sud de Revin (5e armée), Rocroi et Rièzes (1re armée).

Le quartier Saint-Jean de Marseille : destin tragique

12 Avril 1871 - chute de la colonne Vendôme

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