Vitry-le-François

  • 6 novembre 2014

Localisation

Toponymie

Lors de son déplacement en bordure de Marne, la ville conserve son nom primitif de Vitry mais on hésite entre Vitry sur Marne et Vitry le François, forme attestée en 1544. C’est cette dernière option qui est approuvée par le roi François Ier. Son nom latinisé est Victoriacum ou Victriacum Franciscum, on trouve conjointement la forme Victry-le-Francoys aux XVIe et XVIIe siècles. En langage courant, le nom de la cité est simplement Vitry.

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Vitry-sur-Marne.

Vitry-le-François est surnommée la « cité rose ». Cette appellation provient des pavés de couleurs rose ou rouge utilisés pour les trottoirs et les espaces publics vitryats. Ce surnom a fait de Toulouse, la « ville rose », la marraine de guerre de Vitry-le-François.

Le toponyme Vitry est d’un type gallo-roman courant en Gaule. Il remonte à un *VICTORIACU, généralement latinisé en Victoriacum dans les textes et qui se compose de l’anthroponyme latin Victorius (porté par un indigène gaulois) et du suffixe d’origine gauloise -acum qui marque la propriété49,51. Homonymie avec les types Vitray, Vitré, Vitrai, Vitrac également.

Histoire

Avant Vitry-le-François

La fondation de l’ancienne Vitry est attribuée aux Gaulois. Vers 50 avant J.-C., les troupes romaines prennent possession de Carkonne, sur la Saulx. Jules César la décrit comme étant « située au pied d’une montagne et qui regarde le midi. » Il y établit une colonie et un fort baptisés Victrix, « la victorieuse » en latin. Un cimetière romain a d’ailleurs été retrouvé en 1656, en bordure de Marne, au nord de la ville, par un vigneron plantant ses vignes. On trouva également, en 1861 près de Marolles, un vase rempli de pièces romaines : 32 d’argent et 310 de bronze.

La destruction de Perthes par les Huns en 451 fait de Vitry la plus grande ville et ainsi la nouvelle capitale du Perthois. Vitry fait partie de l’Austrasie puis se soumet en 613 à la Neustrie. Le bourg se développe notamment avec la construction de monuments religieux avant d’être incendié une première fois par Louis VII, dit Louis le Jeune, en 1142. 1 500 villageois meurent dans le sinistre, alors qu’ils s’étaient réfugiés dans l’église ; écrivant en 1933, l’historien Charles Petit-Dutaillis attribue la réorientation ultérieure du règne de Louis VII (rapprochement avec la Papauté et départ pour la croisade, perte d’influence de sa femme Aliénor d’Aquitaine) au « choc nerveux » que lui a causé ce drame.

En 1284, le Perthois, possession des comtes de Champagne est rattaché avec l’ensemble du comté à la Couronne de France. La ville est à nouveau incendiée en 1420 par Jean de Luxembourg et ses alliés anglais.

La ville de François Ier

La ville a été fondée en 1545 par le roi de France François Ier.
En 1542 débute la neuvième guerre d’Italie. En 1544, Charles Quint, ligué avec Henri VIII d’Angleterre, entre en Champagne et assiège la ville proche de Saint-Dizier tandis qu’une partie de l’armée de François Ier est à Vitry-en-Perthois. À la suite d’attaques subies par ses troupes, Charles Quint envoie des éclaireurs brûler et détruire Vitry, faisant fuir vers Châlons l’armée française dirigée par le seigneur de Brissac. Le 18 septembre 1544, François Ier et Charles Quint signent la trêve de Crépy-en-Laonnois.

Après avoir pensé reconstruire Vitry-en-Perthois qui était « la clef de son royaume du côté de l’Allemagne », François Ier décide d’ériger une nouvelle ville à l’abri des collines et donc de l’artillerie. Il la fait bâtir à une demie-lieue de l’ancien bourg, à la place du village de Maucourt (ou Moncourt), en bordure de Marne. Le roi de France donne son nom, son emblème, la salamandre, et sa devise « Nutrisco extinguo », traduite en français par « je nourris et j’éteins », à la nouvelle cité.

Le 28 janvier 1545, il ordonne au bailli de Vitry de tracer le plan et les fossés sur un terrain qui appartenait aux chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem, qui sont donc expropriés en échange de 300 livres par an. Le plan, approuvé par édit au mois de mai, est dessiné par l’architecte Girolamo Marini. Malgré de nombreuses réticences, une grande part des villageois de Vitry (désormais « la Brûlée ») déménagent pour Vitry-le-François, à qui on accorde des avantages économiques (droits de foire et marchés, exemption d’impôts pendant vingt ans, facilités de construction, etc.), avec l’ensemble des juridictions. La sécurité qu’offre cette nouvelle ville est également un facteur de départ de nombreux habitants. On se sert d’ailleurs des pierres de l’ancienne Vitry pour édifier la nouvelle même si la plupart des maisons sont construites en bois. En 1557, 500 maisons sont achevées.

Avec la mort de François Ier, en 1547, le développement de la ville est menacé. Henri II, son successeur, annule le 3 mai, les édits, créant et fortifiant la cité ainsi que les avantages économiques ; cependant, le 10 novembre ces édits sont rétablis.

Vitry-le-François est entourée de murailles et de remparts avec huit bastions dépourvus de maçonneries mais protégés par des fossés d’eau vive et possède une citadelle, détruite par la suite. Les fortifications ne sont achevées qu’en 1624. La ville est divisée en quatre quartiers : le quartier Notre-Dame, le quartier du Lion-d’Or, le quartier de la Halle et le quartier Saint-Germain, sur le site de l’ancien Maucourt. En 1587, les anciens moulins de Maucourt, détruits pendant la guerre, tournent à nouveau.

De la fondation à la révolution

À la fin du « XVIe » siècle, la ville est touchée par les guerres de religion. Alors que le gouverneur de Vitry, Jean de Mutigny, fait partie de la Ligue, opposée au roi, les fidèles à Henri IV prennent la ville et le gouverneur est assassiné le 17 mai 1590. Deux jours plus tard, la Ligue reprend la ville, avec M. de Frignicourt comme gouverneur. La cité se soumet finalement au Roi de France et lui demande la destruction de la citadelle de la ville en 1598, qui se trouve alors sur l’actuel site de l’Hôtel de Ville. Les troubles religieux cesseront définitivement au cours des décennies suivantes.

Après cinquante ans de faible croissance démographique, la population passe de 2 000 habitants en 1620 à 11 600 en 1626. La cité se développe grâce aux administrations et aux commerces : bois, grains et vins y sont transportés jusqu’à Paris par la Marne, qui n’est navigable qu’à partir de Vitry. De nombreux édifices religieux sont construits, on y recense notamment un couvent de Minimes, un de Récollets, deux de religieuses et un hôpital des Frères de la Charité. Des églises sont créées dans les quartiers en expansion : l’église Saint-Germain dans le quartier du même nom, l’église Saint-Nicolas du Bas-Village pour le quartier du Hamois et les bourgs de Vaux et Vitry-en-Perthois ainsi qu’une troisième église dans le quartier de la Halle. L’actuelle collégiale y est construite à partir de 1629, lorsque les chanoines de Vitry-la-Brûlée acceptent de rejoindre Vitry-le-François. D’autres monuments importants tels le Palais Royal, qui accueille les juridictions de la ville, sont édifiés à cette époque.

À la suite de l’augmentation des prix du blé, une famine touche la ville en 1626 et fait plusieurs morts. Les pauvres infirmes sont envoyés chez les Vitryats les plus aisés tandis que les valides travaillent aux fortifications. Le 19 octobre 1632, c’est la peste qui se déclare80. Semblant s’apaiser, elle reprend, plus violente en 1634, 1635 et 1636. Vitry perd ainsi la moitié de sa population entre 1632 et 1638. Malgré ce traumatisme, la ville retrouve sa prospérité : en 1650, elle compte 12 000 communiants. Signe de cette nouvelle prospérité, la première imprimerie de la ville est créée en 1645. Pourtant, la famine de novembre 1692 pousse de nombreux habitants à saccager, armée de couteaux et de haches, le domicile d’un marchand de grains. D’autres révoltes dues au manque de pain se produisent en 1704, 1709 et 1753.

Située sur la route de Paris à l’Allemagne, la ville accueille de nombreux souverains, nécessitant l’organisation de grandes festivités. Les Vitryats accueillent ainsi le roi Louis XIV avec enthousiasme lors de ses passages en février 1678 et en septembre 1681. À la suite de la révocation de l’Édit de Nantes en 1685, environ 2 000 protestants de la cité s’exilent, dont le mathématicien Abraham de Moivre et d’autres industriels parfois forts riches. Un incendie éclate le 21 octobre 1701, ravageant une quarantaine de maisons du quartier Saint-Germain. Pour éviter qu’un tel drame se reproduise la municipalité investit entre 1706 et 1721 dans trois pompes à incendie. On découvre dans les années 1730 une source, la source Saint-Simon, qui guérirait des maux d’yeux et qui devient un lieu de pèlerinage. Elle est cependant laissée à l’abandon86. Des émeutes de la faim éclatent à nouveau en ville le 5 octobre 1770.

Vitry-le-François sous la Révolution

Après avoir rédigé les cahiers de doléances, chaque ordre élit ses députés aux États généraux. L’élection de Vitry rassemblait les bailliages d’Épernay, Fismes, Saint-Dizier, Sainte-Menehould et Vitry-le-François. Nicolas Dumont, curé de Villers-devant-le-Thour, et Jacques Antoine Brouillet, curé d’Avize, représentent le clergé. Les députés de la noblesse sont Jean-Baptiste David de Ballidart et Pierre Louis, comte de Failly. Nicolas Remy Lesure, Edmond-Louis-Alexis Dubois de Crancé, Pierre-François Barbié et Jean-Baptiste-Célestin Poulain sont élus pour représenter le Tiers état.

La déchristianisation révolutionnaire supprime les couvents de Vitry-le-François : celui des Récollets devient l’hôtel de ville et la bibliothèque publique, celui des Minimes est converti en caserne ; la chanoinerie est abolie. Les prêtres de la paroisse de Vitry, jansénistes pour la plupart, prêtent serment sur la constitution. Les ornements des églises sont en grande partie profanés. La collégiale est transformée en temple de la Raison puis de l’Être suprême, avant de devenir un magasin ; l’église Saint-Germain est détruite courant 1794 par un incendie. La paix religieuse revient en ville en 1795. La Révolution, malgré quelques dénonciations, ne provoque « aucune scène de carnage » à Vitry-le-François.

Le XIXe siècle

Lors de la campagne de France, le 2 février 1814, les armées de la Sixième Coalition assiègent Vitry-le-François, qui est bombardée. Mais, face à la résistance de la ville, les puissances étrangères se retirent. Elles sont pourtant de retour le 5, en plus grand nombre. Par peur d’être détruite, ne possédant que de faibles fortifications, la cité leur ouvre ses portes. Alors qu’Alexandre Ier de Russie, Frédéric-Guillaume III de Prusse et le feld-maréchal Schwarzenberg sont réunis dans la ville, Napoléon se dirige vers Vitry-le-François, puis l’encercle. Cependant, la chute de Paris, à la fin du mois de mars, l’oblige à abdiquer. Lors du retour de Napoléon en 1815, la ville est à nouveau assiégée mais tient jusqu’à la seconde défaite de l’empereur. Les armées ennemies entrent ensuite dans la cité, provoquant quelques destructions, toutefois limitées.

Sous l’impulsion d’un riche donateur, M. Domyné de Verzet, l’éducation primaire gratuite, pour garçons et filles, se développe dans la ville. En effet, les années 1830 voient notamment la création des Écoles chrétiennes à Vitry-le-François. En 1832, le choléra ravage la cité et fait 371 morts ; il réapparait en 1849 et 1854. À la moitié du siècle, la ville s’embellit et se développe : nombres de maisons sont désormais bâties en pierre, de nombreuses fontaines sont construites, les fortifications sont renforcées, la porte du Pont est édifiée, le Canal de la Marne au Rhin est creusé, etc.

En 1841, l’abbé Boitel fait état de la situation de la ville. Les 626 hectares de superficie de Vitry-le-François se répartissent entre 285 ha de champs labourables, 107 ha de vignoble, 99 ha de zone urbaine et de plans d’eau, 55 ha de prairies naturelles, 52 ha de forêt et 28 ha de parcs et jardins. La cité vit du commerce des grains (les terres y sont très productives) et des vins. Les riches Vitryats possèdent des fermes et des vignes à l’extérieur de la ville.

En 1870, la guerre franco-prussienne éclate. Les Allemands avancent rapidement et prennent Vitry-le-François le 25 août. Ils occupent la ville, occasionnant réquisitions et arrestations nombreuses de civils, jusqu’au 9 novembre 1872, une fois la paix signée. Les fortifications sont démantelées dans les années 1895-1896 et le parc de l’hôtel de ville est agrandi. L’église actuelle est achevée à la même période, en 1898.

La Première Guerre mondiale

L’Allemagne déclare la guerre à la France le 3 août 1914. Dès le lendemain, le général Joffre établit son quartier général au collège de Vitry-le-François.

Le G.Q.G, le 4 août 1914, au collège de Vitry-le-François, se composait du général Joseph Joffre, du général Édouard de Castelnau, du général Émile Eugène Belin, du général Henri Berthelot, du général (Capitaine à l’époque) Edward Spears et du Lieutenant-colonel Louis-Gaston Zopff.

Le 1er septembre suivant, poussée par l’avancée allemande, l’armée française quitte la ville ; les rues vitryates voient alors passer les troupes en retraite ainsi que les réfugiés en provenance de Belgique et du Nord du pays. Le 5 septembre, la majorité de la population a déjà quitté la cité ; on n’y compte plus que 800 habitants. Lorsque les Allemands font leur entrée en ville, le curé-archiprêtre de Vitry et deux notables sont arrêtés. Ceux-ci, grâce à leurs discussions, permettent à la ville d’échapper au pillage et à la destruction ; tous trois seront cités à l’ordre de la Nation.

Le 6 septembre, le général Joffre lance l’offensive de la première bataille de la Marne. Les combats font rage au Mont Morêt, au sud-ouest de Vitry-le-François, et aux alentours de Glannes et Huiron. La IVe Armée, dirigée par le général de Langle de Cary, reprend la ville dans la nuit du 10 au 11 septembre, remontant vers le nord. Si le front reste dès lors éloigné de Vitry-le-François jusqu’à l’Armistice, 402 Vitryats périssent sur le champ de bataille. La ville est par la suite décorée de la Croix de Guerre.

Une « nécropole nationale de Vitry-le-François » est créée en 1921 au sud de la ville. Elle accueille sur 8 612 m2 les corps de 4 067 soldats ; parmi ceux-ci, 4 005 sont ceux de Français et Britanniques tués durant la Première Guerre mondiale, les 62 autres étant ceux de Français morts pendant la Seconde Guerre mondiale.

Le martyre de la Seconde Guerre mondiale

Le 16 mai 1940, six jours seulement après la fin de la « drôle de guerre », Vitry-le-François est survolée par l’aviation nazie qui bombarde le quartier Saint-Germain. En quelques minutes, la totalité du quartier brûle. De peur de nouvelles attaques, les Vitryats s’enfuient vers les villages alentour ou creusent des abris dans le sol de leurs jardins. La ville est ensuite plusieurs fois bombardée par la Luftwaffe. Le 12 juin, alors que l’armée terrestre allemande s’approche de la cité, le maire, M. Prud’homme, reçoit l’ordre du secrétaire général de la préfecture d’évacuer la ville vers le sud. Le lendemain, le génie fait sauter les ponts sur la Saulx, puis le tout nouveau pont de la route de Châlons. Seule une batterie d’artillerie, dirigée par le capitaine Sire, reste à Vitry-le-François pour retarder l’avancée des Allemands. Ceux-ci tirent obus et bombes incendiaires sur la ville. Le quartier de la Halle s’embrase, puis l’incendie se propage aux quartiers du Lion d’Or et de Notre-Dame : c’est l’ensemble de la cité qui est en flammes. Le 14 juin, l’armée du Troisième Reich pénètre dans une ville vide et détruite à 80 % Dès lors, Vitry-le-François est sous occupation allemande. Le 27 juin, l’administration municipale reprend son activité. Des baraquements d’urgence sont édifiés. Pour se reconstruire, la ville reçoit notamment l’aide de Toulouse et réussit en partie à « ressusciter ». Cependant, plusieurs familles juives vitryates sont déportées ; parmi elles, les parents de la famille Baumann sont emmenés à Auschwitz en novembre 1943.

En juin 1944, les Alliés débarquent en Normandie. À la fin du mois, le 27 au soir, ils bombardent la gare de Vitry-le-François. Dans la nuit, les sirènes retentissent et des centaines de fusées éclairantes, prévenant d’un bombardement massif, illuminent le ciel. C’est d’abord le quartier de la gare qui est attaqué puis le centre-ville et le Bas-Village ; les bombardements s’étendent à toute la ville. Les baraquements s’écroulent et plusieurs habitants sont tués dans leur fuite, notamment en direction du Bas-Village. Après 25 minutes, les bombardements cessent. Les morts sont emmenés à l’église et des soins s’organisent notamment grâce à la Croix-Rouge. Vitry-le-François est à nouveau presque totalement terrassée et est détruite à 93 %. On dénombre par ailleurs 105 morts, 48 blessés hospitalisés et 150 blessés légers. L’hôtel de ville, épargné lors du bombardement de 1940, est ravagé ; avec lui disparaissent les 30 000 volumes de la bibliothèque municipale, dont de nombreux ouvrages rares et anciens. Après le 28 juin, des bombardements continuent et, à la suite d’un nouvel exode vers les campagnes alentour, seuls 300 Vitryats restent dans leur cité. Les occupants subissent alors les attaques de la Résistance locale, et plusieurs sont exécutés. Face à l’arrivée des troupes alliées et à l’activité de la Résistance vitryate, les Allemands se replient en hâte le 29 août et la ville est libérée par les Américains.

Depuis 1945

La population regagne cependant vite la ville et s’attèle dès lors à la reconstruction. Vitry-le-François reçoit sa seconde Croix de guerre du général Giraud, le 5 juin 1949. Les années 1950 et 1960 sont donc marquées, comme pour de nombreuses villes, par la réhabilitation des monuments historiques détruits à la suite de l’invasion allemande. La sous-préfecture de Vitry-le-François a ainsi été reconstruite en 1953 et l’hôtel de ville en 1962. Un nouveau collège plus moderne est inauguré en 1959 puis c’est au tour de la collégiale de voir sa restauration achevée avec la bénédiction des cloches de sa tour nord en 1960. C’est également à cette époque que sont construits de grands ensembles en périphérie de la ville.

En 1974, le lac du Der-Chantecoq, situé à 15 km de la commune a été mis en service afin de réguler le débit de la Marne. Le site s’est depuis transformé en un moteur du développement local, grâce à son importance dans les domaines des loisirs, du tourisme nautique et de l’écotourisme.

Administration

Pays France
Région Champagne-Ardenne
Département Marne (sous-préfecture)

Portfolio